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Les modes de financement du développement ou de la transmission des entreprises connaissent une évolution progressive depuis plusieurs années qui tend à s’accélérer, compte tenu de contraintes réglementaires plus fortes dans un environnement économique incertain. Même si le crédit bancaire représente encore 92% du financement des PME, la mise en œuvre de ratios de solvabilité (Cook, Bâle I, II… et III avec une application en 2015 pour ce dernier) entraîne un resserrement et un renchérissement du coût des crédits bancaires. Parallèlement, l’ouverture du capital de leurs entreprises à des investisseurs financiers signifie pour les entrepreneurs des éventuelles problématiques de gouvernance et surtout une concession patrimoniale forte avec une création de richesse personnelle moindre, du fait de leur propre dilution au capital de ces entreprises. En outre, dans un cas de transmission, l’entrepreneur ne voudra pas sacrifier la valorisation de l’actif professionnel qui représente souvent une part prépondérante de son patrimoine ; ceci d’autant plus que les placements financiers offrent des rendements en baisse depuis plusieurs années. Face à la conjonction de ces éléments, les PME peuvent se tourner soit vers des financements dits « complexes », soit en émettant des emprunts obligataires, qui pourront être souscrits directement par des investisseurs privés ou par le biais des marchés financiers. Les financements appelés « complexes » permettent aux acheteurs de proposer les niveaux de prix attendus par les vendeurs, sont moins coûteux en capital, n’obèrent pas la capacité de développement des entreprises et sont souvent un complément aux financements bancaires classiques. La Dette Mezzanine, qui prend la forme d’Obligations à Bons de souscription d’Actions, et les Obligations Convertibles sont les financements dits « complexes » que l’on rencontre le plus souvent. Leur durée longue, leur remboursement in fine et leur subordination à une dette bancaire complémentaire leur permettent d’être considérés comme des quasi fonds propres par les banques, d’accroître ainsi le levier financier, de ne pas impacter ou très marginalement le cash flow opérationnel des sociétés tout en évitant une dilution capitalistique. Sur l’ensemble de ces sujets et dans le cadre d’un accompagnement global,, les équipes de Corporate Finance et d’Ingénierie Financière de Neuflize OBC sont à la disposition des entrepreneurs pour conseiller, structurer et étudier le financement de leurs opérations de développement ou de transmission d’entreprises.
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Fondé en 2000 par Olivier Carvin, Maranatha Hôtels est spécialisé dans la gestion et l’exploitation d’actifs hôteliers. Le Groupe compte aujourd’hui plus de 30 hôtels et se place en 17ème position des groupes hôteliers français. En lançant Finotel Premium cet été, Olivier Carvin propose une solution innovante et rentable de placements dans l’Hôtellerie, secteur en croissance régulière. Afin de développer cette Société, Olivier Carvin s’appuie sur différents types de financements, non plus seulement intermédiés par des banques. Agréée par l’AMF, Finotel fait appel à l’épargne publique et propose aux particuliers d’investir dès 15 000 euros. Totalement ‘Made in France’, l’entité a pour vocation d’acquérir des hôtels à Paris et dans certaines grandes métropoles françaises, dont la gestion sera confiée au Groupe Maranatha. Les investisseurs souscrivent à des parts de la Société et sont rémunérés lors de la liquidation du portefeuille, selon le montant des plus-values générées. Finotel disposera d'une capacité d'investissement dont le montant global se situera aux alentours de 60 millions d'euros. Par ailleurs, l’offre Finotel est éligible au PEA et réemploi économique. Olivier Carvin sera présent aux Conférences de l'Entreprise, 1ère semaine du financement, du développement et de l'accompagnement des entreprises.